J’ai été désignée aujourd’hui présidente du Conseil de la Commission communautaire flamande. 

Le Conseil de la Commission communautaire flamande (Raad van de Vlaamse Gemeenschapscommissie, RVG), ce sont 17 parlementaires néerlandophones du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale. Ils définissent ensemble la politique néerlandophone en matière d’enseignement, de culture, de sport, de jeunesse, de bien-être et de santé.  

J’ai commencé ma carrière politique en 2019 au Parlement bruxellois. Les élus néerlandophones rejoignent aussi les rangs du RVG. 

Les calculs politiques, ce n’est vraiment pas pour moi, au contraire des discussions politiques. 

Mon parcours 

J’ai commencé ma carrière dans ce qu’on appelle la société civile. Dans ces organisations de terrain qui ont une vocation sociale. D’abord chez Adzon, où j’ai travaillé avec des jeunes en situation de prostitution, et chez Globe Aroma, une maison artistique pour les nouveaux arrivants à Bruxelles. 

J’y ai toujours lutté pour les personnes en difficulté. Les sans-abri, les sans-papier... 

C’est d’ailleurs aussi ma priorité dans mon activité politique. 

J’ai pu puiser dans ces expériences. 

Et me voilà donc désormais présidente du RVG. C’est à la fois un honneur et une responsabilité supplémentaire. Mais cela ne change rien à mes priorités de travail. 

Les priorités 

La présidence doit représenter tous.tes les Bruxellois.es : néerlandophones ou non qui ont un lien avec le réseau néerlandophone, et par extension tous.tes les Bruxellois.es. 

C’est bien la présidence que j’entends incarner. 

Je continuerai à défendre les intérêts des personnes vulnérables. Je ferai de la lutte contre le racisme et le sexisme une priorité. Les droits humains ne sont pas une question secondaire. 

Les calculs politiques, ce n’est vraiment pas pour moi, au contraire des discussions politiques. 

Lisez également mon communiqué de presse.