Pourquoi nous ne soutenons pas la modification de loi proposée sur les trottinettes et vélos partagés
Faut-il agir contre la nuisance du stationnement sauvage des trottinettes ? Bien entendu. Faut-il changer la loi pour autant ? Non. La Ministre de la Mobilité peut d’ores et déjà prendre des mesures. Par exemple en instaurant des zones de stationnement (dropzones) pour les trottinettes et vélos partagés., bijvoorbeeld door het instellen van drop-off zones voor deelsteps en -fietsen.
C’est pour cette raison que nous ne soutenons pas la proposition de modification de l’ordonnance de notre collègue Verstraete.
Il faut s’attaquer à la nuisance causée par les trottinettes partagées. Le renforcement des contrôles et l’instauration de zone de stationnement (dropzones) pourraient y contribuer. Ces options sont déjà parfaitement réalisables. Dès aujourd’hui. Bricoler un cadre législatif déjà fonctionnel est tout simplement une perte de temps. Voilà pourquoi nous nous y opposons.
Les zones de stationnement pour trottinettes partagées étaient déjà prévues dans l’ordonnance d’origine (en tant que délimitations dans les zones d’interdiction). Il n’est donc absolument pas nécessaire d’adapter l’ordonnance actuelle sur les trottinettes et vélos partagés.
Passer aux actes
Veillons à un meilleur contrôle du code de la route (s’attaquer au stationnement sauvage et infliger des amendes aux opérateurs) et commençons à délimiter des dropzones.
La Ministre doit inscrire des propositions en ce sens à l’ordre du jour du Gouvernement bruxellois. Il sera alors possible de régler le problème. Elle ne doit pas attendre pour cela que le Parlement modifie la législation.